Dans la poitrine ce sablier
de mort, de mer et d'habitude
et qui rend
ce même souffle, ce même regard,
cette même vie dans d'exactes tombes
Ne rends que cette rosée sur ta main
à ton ombre qui va et te rejoint
dans ta feuille toujours plus fine
de ton mensonge
Le soleil violentait la pierre et les quelques femmes groupées dehors.
Dans ce cloitre le ciel se dégageait découpé en pleine chair,
Géométriquement
L'eau ce sang mystérieux,faisait front au réel d'une audacieuse rubrique
Et la terre, sans façon, retrouvait
son empreinte
EN MOI S'ETAIT GLISSE L HOMME DU SILENCE
MA POESIE N'A PAS A S HABITER :
CE QUE J'ECRIS ON NE LE COMPRENDS PAS,
ON L OBTIENT
Emmanuel DALL'AGLIO
MAXIMUS