CINEMA CINEMA....

Bollywood c'est le nom donné à l'industrie cinématographique indienne basée à Mumbai (Bombay) et dont les films sont réalisés en hindi (et en ourdou). Il s'agit de la composante la plus populaire du cinéma indien, le plus important au monde en nombre de films tournés plus de 700 par an. Les films de Bollywood, diffusés dans toute l’Inde, s’exportent dans le monde entier, notamment dans les pays du Maghreb, du Moyen Orient et du sud-est asiatique.

Le terme « Bollywood » est un mot-valise combinant l'initiale du nom « Bombay » - ancien nom de la ville indienne appelée aujourd'hui officiellement Mumbai - et celui d'un autre symbole de l'industrie cinématographique, en l'occurrence américaine : « Hollywood ». Il ne désigne pas un lieu spécifique mais plutôt un genre cinématographique.

Il faut juste savoir que si vous décidez un jour d'aller voir un film indien, il dure en moyenne entre 3 à 5 heures.... mais surtout ( en Inde ) le spectacle est aussi dans la salle : les spectateurs en deviennent fous ! on commente les scènes surtout quand le héros ne voit pas venir le danger derrière lui...on rit, on mange, on boit, on fume, pour le reste je ne sais...

Les films et aussi les clips du genre Bollywood sont inspirés des comédies musicales, des décors grandioses, ses scènes époustouflantes à vous couper le souffle, des histoires romantiques, très sentimentales, des histoires d'amour souvent torturées qui se terminent mal en général comme toujours !
Dans les films Bollywood on ne s'embrasse jamais grands dieux ! surtout pas !
N'attendez jamais le moindre bisou !
Encore moins de scènes sexe vous n'y pensez pas à moins d'être fou à lier ! l'Indien par culture est très réservé, pudique jamais démonstratif. Par contre, étrangement dans chaque film indien il y a toujours des scènes de pluies qui s'abattent soudainement comme par enchantement sur les deux protagonistes.
Alors les saris de soie adhèrent complétement à la peau et dévoilent beaucoup de choses...ce qui fait en définitive des scènes d'un érotisme torride comme vous pouvez l'imaginer quelque part...

Une des plus belles actrices du cinéma de Bollywood devenue une star mondiale :
La première miss monde indienne Aishwarya Rai considérée comme une véritable déesse dans son pays ( connue par des pub célèbres ) tout comme ces acteurs du cinéma de Bollywood.
Deux autres véritables dieux vivant, piliers du cinéma indien : Amitabh Bachchan et Shahrukh Khan.

Samsara

Marie-France Pisier une grande dame du cinéma français vient de nous quitter aujourd'hui à l'âge de 66 ans.

Un physique, un sourire lumineux, un timbre de voix reconnaissable...

François Truffaut lance Marie-France Pisier dans L'Amour à vingt ans (1961). Elle continue son apprentissage avec Robert Hossein qui lui confie des rôles dans La Mort d'un tueur (1963), dans Le Vampire de Düsseldorf (1964) et dans Les Yeux cernés (1964). Cette actrice belle et subtile, au timbre de voix si reconnaissable, choisit par la suite de travailler avec des auteurs comme Alain Robbe-Grillet (Trans-Europ-Express, 1966), Jacques Rivette (Céline et Julie vont en bateau, 1973) et André Téchiné (Souvenirs d'en France, 1974). Son image d'actrice " intellectuelle " prend un nouvel éclat avec le succès retentissant de Cousin, cousine (1975) de Jean-Charles Tacchella. Elle apparaît dès lors dans quelques productions internationales, dont Coco Chanel (1980) de Georges Kaczender, où elle incarne sans grand bonheur Mademoiselle Chanel. Marie-France Pisier poursuit une carrière très personnelle, alternant cinéma commercial (L'As des as, 1982, de Gérard Oury) et films d'auteurs (La Note bleue, 1990, d'Andrzej Zulawski). Dans les années 1990, elle se fait plus rare, mais elle réussit une remarquable composition de bourgeoise souffrant de ne pas avoir d'enfant dans Marion (1996) de Manuel Poirier.

Elle cosigne plusieurs scénarios, dont L'Amour en fuite (1978) de François Truffaut et Céline et Julie vont en bateau (1973) de Jacques Rivette.

En 1990, elle réalise avec sensibilité et maîtrise l'adaptation au cinéma de son roman Le Bal du gouverneur.

Parmi ses films les plus connus : Baisers volés, Cousin Cousine, Barocco, les soeurs Bronté, la Banquière, etc...

A la télévision elle fit parti du grand feuilleton ' Les gens de Mogador '.
Elle reçu deux césars pour ses rôles dans les films Cousin Cousine et Barocco.

( Elle était aussi comédienne de nombreuses pièces de théatre).

Samsara

Réalisé par : Jonathan English
Avec : James Purefoy, Brian Cox, Derek Jacobi, Kate Mara, Paul Giamatti
Synopsis :

En 1215, le roi d'Angleterre, Jean sans terre, a été contraint de signer la Magna Carta, un document qui assure la liberté du peuple et constitue désormais la base du droit commun en Angleterre. Furieux d'y avoir été forcé, il lève une armée de mercenaires et commence à piller le pays pour reprendre le pouvoir. Il est sur le point d'atteindre Londres et de remporter la victoire, mais un dernier obstacle se dresse encore sur sa route : le château de Rochester.
À l'intérieur, rassemblée par le baron Albany, une petite bande de guerriers rebelles s'est juré de retenir le roi Jean jusqu'à l'arrivée des renforts. Elle compte un chevalier Templier ; Isabel, la dame du château, mais aussi des mercenaires endurcis comme Beckett et des jeunes soldats tels Guy, qui va goûter à la bataille pour la première fois et peut-être bien la dernière. Chacun a ses espoirs, ses démons et ses secrets. De part et d'autre de la muraille, les deux camps sont prêts à tout pour l'emporter et l'heure de l'affrontement approche...



Ce film que j'ai vu est actuellement à l'affiche.

Bonne histoire vraie, de bons acteurs, une belle mise en scène, du bon cinéma mais attention les âmes sensibles : car çà saigne d'ou le titre...

interdit - 12 ans.



Samsara

ZORBA LE GREC ce film mythique fut le plus grand rôle d'Antony Quinn.







C'est pendant ce tournage que fut créé le fameux sirtaki une danse qui fut créée exclusivement pour les besoins du film et qui était alors inconnue des Crétois et allait cependant faire le tour du monde. Premier succès international d’un cinéaste grec, le film a obtenu trois oscars, dont un pour Lila Kedrova en tant que meilleure actrice dans un second rôle.

La musique de Mikis Théodorakis est restée célèbre et a popularisé le folklore grec dans le monde entier.



ZORBA LE GREC



Basil (Alan Bates), un jeune écrivain britannique, retourne en Crète pour prendre possession de l’héritage paternel. Il rencontre Zorba (Anthony Quinn), un Grec exubérant qui insiste pour lui servir de guide. Les deux hommes sont différents en tous points : Zorba aime boire, rire, chanter et danser, il vit à sa guise alors que Basil reste empêtré dans sa bonne éducation. Ils deviennent cependant amis et s’associent pour exploiter une mine. Zorba entreprend de construire un téléphérique et Basil lui fait confiance, mais c’est un échec. Zorba s’en moque. Il rit et court sur la plage. Vaincu et conquis, Basil lui demande alors de lui apprendre à danser le sirtaki...





Samsara

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Samsara

C'est un véritable plébiscite auquel a droit Intouchables ! La comédie des réalisateurs Eric Tolédano et Olivier Nakache totalise plus de 4 millions de spectateurs en France, 12 jours après sa sortie le 2 novembre. La Gaumont qui distribue le film dans l'Hexagone dans une combinaison de 608 salles annonce ce résultat et surtout confirme que ce week-end, en particulier le 11 novembre, les files d'attente devant les cinémas étaient toujours très importantes. En particulier, à Paris et dans sa périphérie, mais aussi dans les grandes villes de province.

Intouchables a ainsi attiré plus de 600 000 spectateurs rien que dans la journée du 11 novembre. Et le samedi 12 novembre on a aussi battu des records d'affluence, qui ont ainsi permis à la comédie interprétée par François Cluzet et Omar Sy de franchir les 4 millions d'entrées. Soit le même chiffre obtenu par le Tintin de Spielberg, qui est arrivé à cela en deux semaines...

Avec de tels résultats et compte-tenu du bouche à oreille excellent dont il bénéficie Intouchables est désormais bien parti pour sans doute devenir le numéro 1 du box-office national de l'année 2011. En effet, il devrait rejoindre très vite Pirates des CaraÏbes 4 et ses 4,7 millions de spectateurs , puis s'attaquer aux 6,5 millions de Harry Potter, les Reliques de la mort, 2eme Partie", avant de mettre à mal le Rien à déclarer de Dany Boon, avec ses 8 135 000 entrées (sorti en février dernier) ! De quoi satisfaire Eric Tolédano et Olivier Nakache qui n'avaient jamais pensé remporter un succès pareil au box-office ! Leurs Jours heureux n'avait dénombré que 1 473 000 spectateurs en juin 2006.

Rappelons que Intouchables a coûté un budget de 9,6 millons d'euros à ses producteurs et qu'il est désomais largement amorti. De plus, le film est vendu dans le monde entier, plus de 40 pays en ont acquis les droits de distribution. Aux Etats-Unis, il a été acheté par Harvey Weinstein , pour une sortie programmée en mai 2012. L'homme étant aussi le producteur d'un certain Quentin Tarantino , il aurait l'intention d'en faire un remake.

Ce film a été adapté du Second Souffle, le récit bouleversant de Philippe Pozzo di Borgo, devenu tétraplégique à 42 ans à la suite d'une chute en parapente. Il est bon de préciser que les réalisateurs se sont engagés à verser 5% des recettes à l'association Simon de Cyrène, que Philippe Pozzo di Borgo a fondée il y a cinq ans. Un geste généreux et une première dans l'histoire du cinéma. On applaudit !

Vu ce jour INTOUCHABLES : c'est FORMIDABLE !

Un film qui donne espoir en l'HUMAIN !

un film qui fait du BIEN et met du baume au COEUR !

de Magnifiques acteurs François Cluzet exceptionnel de justesse et Omar Sy naturel et désarmant !

Courez y vous ne serez pas déçu !

Samsara

Le 23 juin 1993, Philippe Pozzo di Borgo s'écrase en parapente sur les reliefs savoyards du mont Bisanne. Les cervicales brisées, le patron des champagnes Pommery est tétraplégique, à 42 ans. Il a inspiré le film "les Intouchables" d'Eric Toledano et Olivier Nakache. Depuis le Maroc où il vit désormais, il a répondu a nos questions.

Racontez-nous un peu cette aventure cinématographique…

J’avais posé une seule condition, que l’on s’amuse, et j’ai été entendu par ces deux réalisateurs intelligents, drôles et très professionnels. Ils sont venus chez moi, à Essaouira, avec les acteurs, pour ce qu’ils appellent un séminaire d’intégration. Trois journées, traversées de moments étonnants, forts, émouvants. Ils sont tous revenus le 11 septembre pour projeter le film autour d’un tajine, sous les étoiles, un mur pas très propre servant d’écran. L’épilogue d’une aventure humaine de deux ans.

Le film ne souffre-t-il d’aucun décalage, dix ans après la sortie du livre ?

Le livre a été réédité, enrichi de cent pages supplémentaires qui racontent la période entre 1998, date où s’arrête la première version, et 2004.

Vous avez eu des retours, notamment de handicapés ?

Je reçois une moyenne de deux cents e-mails par jour, auxquels j’essaie de répondre. Y compris de Corse, où le film est, paraît-il, à l’affiche.

Vous contribuez à leur donner espoir et confiance ?

J’ai tenu à ce que le film soit projeté en Bretagne, dans un centre de rééducation de handicapés très lourds où j’avais longtemps séjourné. Le public, installé sur des fauteuils ou des lits médicalisés, riait, alors que les réalisateurs, eux, pleuraient. Un moment inoubliable. Je tiens à préciser que ces derniers verseront 5 % des recettes à l’association Simon de Cyrène, que j’ai fondée il y a cinq ans. Un geste généreux qui est une première dans l’histoire du cinéma.

Comment vivez-vous la célébrité ?

Les paillettes, ça n’a jamais été mon truc. Alors je la vis comme un tétra depuis le fin fond de sa campagne, avec un recul forcé. L’essentiel, c’est que le message passe auprès des gens : même quand vous traversez le pire, que les épreuves soient physiques ou sociales, tendez la main, ne restez pas isolés, et le meilleur peut toujours arriver.

Avec tous les malheurs qui vous sont tombés dessus, c’est ce à quoi vous vous êtes raccroché ?

Oui, au regard de l’autre. Abdel dans la vraie vie. Grâce à lui, j’ai une épouse et deux enfants à élever. Même allongé, il m’a remis debout.

Votre perception des valeurs a-t-elle fondamentalement changé ?

Non, le sens de la famille et de la communauté, le goût de la vie, la fidélité en amitié, l’attachement à ses racines. C’est très corse, tout ça.

Mais votre rapport à l’argent, oui…

Sur le circuit de la compétition, j’ai eu ma sortie de route. Oui, j’ai été gâté. Mais être tétra, c’est un métier très luxueux si on veut être indépendant. Si on est aimé, on y arrive.

Quels sont vos plaisirs aujourd’hui ?

Préserver mon cocon familial, écrire, puisque j’ai quelques idées qui traînent, encourager les handicapés en quête, comme moi jadis, d’un second souffle. Tout simplement me rendre utile, dans la mesure de mes moyens. Je dois surtout rester « dans le coup » pour mes enfants.

Pourquoi avoir choisi le Maroc plutôt que la Corse ?

J’ai essayé la Corse sans succès. Je souffre de douleurs neurologiques très importantes. Au-dessus de 25 °C, je pète les plombs et, en dessous de 1 015 millibars de pression atmosphérique, je suis assailli par les brûlures. Essaouira me maintient dans la bonne fourchette…

On se disait peut-être que la cité impériale vous était interdite à cause de vos lourds antécédents familiaux antinapoléoniens…

(Rires) Pas du tout ! Mes frères y vivent et, moi-même, je serai inhumé dans la chapelle mortuaire de la famille, au pied de la Punta. Que les dernières images du film me montrent chez moi, à cet endroit précis, ça compte déjà énormément.

Dans la Grèce antique, Thésée, un jeune guerrier, va mener ses hommes à la bataille avec les dieux de l'Olympe pour tenter de repousser les Titans, anciens dieux primaires qui ont juré de détruire l'humanité.

La mythologie grecque à la sauce tomate hollywoodienne ... avec moults effets spéciaux en veux tu en voilà ! de plus film présenté en 3D ! çà se regarde ! du bon cinoche avec un acteur méconnaissable à l'incroyable charisme dans le rôle du méchant : MICKEY ROURKE !!!