En été les lis et les roses
Jalousaient ses tons et ses poses,
La nuit, pas l'odeur des tilleuls
Nous nous en sommes allés seuls.
L'odeur de son corps , sur la mousse,
Et plus enivrante et plus douce.
En revenant le long des blés,
Nous etions tous deux bien troublés.
Comme les blés que le vent frole,
Elle ployait sur mon epaule.