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 L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...

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maximus38

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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyJeu 6 Sep 2012 - 11:05

Les mystères des Sinclair Le nom des Sinclairs apparait souvent dans les livres d'histoire parallèle concernant les sociétés secrètes.


Par association à la Chapelle de Rosslyn, haut lieu du mystère construit par un des membres de la famille, ils sont associés à la supposée présence de Templiers en Écosse après la dissolution de leur Ordre.
Henry de Saint Clare aurait redécouvert le Groënland et aurait mis le pied en Amérique presque un siècle avant Christophe Colomb.
La plupart de ces théories restent à prouver tangiblement et historiquement.

Il est en revanche clairement établi qu'en 1600 ou 1601, alors que se constituaient les toutes premières loges de la franc-maçonnerie, les maçons d'Écosse reconnurent, dans la première des Chartes dites "Saint Clair", Sir William Sinclair of Roslin comme mécène et protecteur. Il est également écrit dans ce document que les Sinclair détenaient ce titre depuis "longtemps", sans qu'il soit cependant possible d'apporter plus de précision à ce sujet.

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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMar 25 Sep 2012 - 8:48




PARIS au moyen age,







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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMer 26 Sep 2012 - 8:38










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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMer 26 Sep 2012 - 8:40









Vie des femmes au moyen age,




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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptySam 29 Sep 2012 - 8:19










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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptySam 29 Sep 2012 - 8:22




Les celtes dame samsara cela devrait vous plaire,






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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptySam 29 Sep 2012 - 8:25

Qui sont les Celtes ?




« Les Celtes » désignent un ensemble de peuples de langues et de cultures s’étageant sur trois millénaires. Quelle commune identité peut-il y avoir entre tant d’époques et de civilisations différentes ? Aujourd’hui les Celtes aiment à se reconnaître dans un passé héroïque et mystérieux. Comment quelque chose de cette origine - la première « civilisation celte » connue remonte à 700 ans avant Jésus Christ - peut-elle avoir encore une influence et une signification ?
La lointaine période dite de « La Tène » dans la préhistoire a livré des objets d’art dans de nombreux cimetières au premier millénaire Av. J C depuis la vallée du Danube jusqu’à la Grande Bretagne. L’extension des Celtes atteint l’Asie Mineure (« les fameux « Galates »), l’Espagne, l’Ecosse et l’Irlande.

Envahisseurs, conquérants ? Tout est possible, peu de choses sont certaines, et les thèses divergent, mais enfin, ils étaient là. Ils affrontent les Grecs et pillent Olympie, menacent Rome depuis la « Gaule Cisalpine », sont asservis par elle ou repoussés au delà des Alpes. Puis la Gaule devient « Gallo-Romaine », la Grande Bretagne subit une influence moins forte de Rome après laquelle repoussera une nouvelle culture Celte. Les Grands-Bretons sont repoussés dans l’ouest, au Pays de Galles et en Cornouailles. De là ils passent en Armorique où ils établissent la Bretagne. Le reste de l’Europe continentale est romanisée, puis subit les diverses invasions germaniques, slaves, hongroises et danoises.

Dès le VIe siècle l’originalité celte caractérisée par ses langues ne subsiste guère que dans l’extrême ouest mais s’est maintenue jusqu’au XIXe siècle. Mais ces rameaux de langues celtes que sont le Gaélique Irlandais, le Gaélique Scot(Ecosse), le Cornique (Cornouailles Anglaise ou « Cornwall »), le Gallois (Pays de Galles), le Manx (Ile de Man) et les Quatre Bretons ( Léon, Trégor, Cornouailles et Vannes) sont aujourd’hui presque réduits au volontarisme.
Les Celtes finiront-ils ultimement chassés des terres européennes dissous dans les brouillards de l’Atlantique Nord où l’horizon se confond avec l’Au-delà de leurs légendes et de leur mystique ?
Si aucune civilisation n’est immortelle, aucune culture non plus n’a jamais été et ne sera une culture pure propre à une population et identique à son génie.

La « Celtitude » aujourd’hui, est revendiquée beaucoup plus par des Irlandais qui parlent Anglais que par ceux qui encore parlent le Gaélique, des Américains qui n’ont jamais mis le pied dans l’extrême ouest européen, des Bretons qui écrivent en français. Car il demeure pourtant une source permanente héroïque et mystique, aventureuse et imaginative d’inspiration celtique. On peut considérer que cette source s’est mêlée de façon créative d’abord à l’ancien monde ; puis après la disparition de la civilisation romaine à l’essor de la nouvelle civilisation européenne au Moyen Age,
puis aux littératures anglaises et françaises depuis le XIe siècle jusqu’à nos jours ; aux aventures des grandes découvertes, aux établissements d’outre-mer, à l’extension des Etats Unis.
Dans la « mondialisation » telle qu’elle se présente au début du XXIe siècle, chacun se recherche une identité et des antécédents, une culture d’élection.

Dans cette recherche la Celtitude affiche une étonnante énergie et
une attraction toujours poétique et merveilleuse comme aux temps où les récits du Roi Arthur avaient séduit toute l’Europe de l’Ouest. En est témoin cette renaissance de la musique celtique :
A Lorient (dans le « Morbihan », le seul département français à nom breton), ville de cent mille habitants, 350.000 personnes participent l’été au « Festival inter-celtique ». A cent kilomètres de là, en peine Bretagne intérieure et ignorée, la petite ville de Carhaix, 5.000 habitants, a vu en quelques années son « festival des vieilles charrues » passer de quelques centaines de participants au début à 150.000 l’été 2.002.

Sur les routes de Bretagne et du Pays de Galles le Nouveau Tro Breiz (Tour de Bretagne) rassemble des milliers de marcheurs allant par les lieux d’histoire et de légende aux Cathédrales des « Evêques Fondateurs ».
Bien sûr chaque époque « réinvente les Celtes » comme le XVIIIe réinventait les Gaulois, comme le XIXe donnait les « Songes d’Ossian », les romans Ecossais de Walter Scott, ou les Recueils de traditions chantées en Breton Armoricain du Barzaz Breiz. Dans la peinture, la Bretagne connaîtra au tournant des XIXe et XXe siècle une période faste dont Pont Aven, les Synthétistes et les Nabis sont les phares.

Aujourd’hui, dans les librairies de Dublin comme de Belfast, de Rennes ou de Quimper fleurissent les « Atlas des Celtes », les « Arts des Celtes », des Histoires, des Légendes des Manuels de linguistique, des Initiations à la Mystique celte, des savants traités sur les Druides (à partir des Récits Irlandais). A Tréguier (Bretagne nord ) on va fêter de façon grandiose le 7e centenaire de saint Yves, l’un des saints bretons les plus populaires et les plus authentiques.

Ainsi la Celtitude n’est pas en train de disparaître malgré le déclin du parler populaire des vieux dialectes bretons gallois irlandais ou écossais. Non, dans la mondialisation des cultures qui s’opère actuellement sous l’action dominante de l’économico-anglais, grandit le désir d’être du monde et en même temps d’être autrement : la Celtitude est une chance : elle est un témoin vivant de l’être autrement, elle est l’une des réponses au désir de l’homme de se découvrir racines et inspiration pour une identité personnelle et une créativité.
La Celtitude d’aujourd’hui, une fois de plus se revivifie, s’adopte, se réinvente. Elle ne sera jamais la même, peu importe, elle vit et demeure une source.




MAXIMUS
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maximus38

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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyDim 21 Oct 2012 - 9:08




La campagne


Pendant tout le "Moyen Âge", c'est-à-dire du Ve au XVe siècle, les campagnes ont occupé une place prépondérante, essentielle, en Europe occidentale.
Lorsque se sont achevées les invasions germaniques, dans le courant du Ve siècle, les villes avaient perdu beaucoup de leur substance. De nombreux habitants avaient fui, et notamment les plus riches d'entre eux, ceux qui, par leur mode de vie et leurs habitudes de consommation, faisaient vivre artisans et commerçants. Ces riches citadins, qui étaient aussi de grands propriétaires fonciers, s'étaient retirés dans leurs domaines, tandis que les artisans se repliaient sur des bourgs ruraux. Les villes n'ont plus survécu alors que comme centres religieux et culturels surtout et, dans une moindre mesure, comme centres administratifs. Ainsi, la presque totalité de la population, désormais clairsemée, était désormais rurale, à tous les échelons de la société. En effet, l'insécurité omniprésente et durable créée par la crise économique du IIIe siècle et plus encore par les invasions a entraîné un net déclin démographique, qui n'a été que peu enrayé par l'arrivée et l'installation des envahisseurs germaniques. C'est leur détermination passablement brutale et non leur nombre qui est en cause dans la dévastation et la désorganisation des territoires envahis.

Chasse, élevage, pêche et cueillette l'emportent sur l'agricultur




L'analyse d'ossements provenant de cimetières mérovingiens montre que l'espérance de vie variait entre 25 et 45 ans ; cependant si l'on survivait aux premières années, il n'était pas rare d'atteindre, voire de dépasser, l'âge de 65 ans.
Au cours de trois siècles de troubles continus, beaucoup de terres jadis cultivées étaient retournées à la friche, de sorte qu'il ne restait plus que des îlots cultivés dans un océan de forêts, de landes et de marécages. Dans les grands domaines mérovingiens, dont certains s'étendaient sur plusieurs milliers d'hectares, les cultures en occupaient au plus quelques dizaines. Cultures médiocres au demeurant, car il semble que les paysans ne disposaient généralement que d'outils en bois. Pourtant, l'iconographie de l'époque mérovingienne montre déjà des hommes cultivant la terre à l'aide d'outils ferrés, bêches ou socs d'araire.
En définitive, à l'époque mérovingienne, les hommes demandaient donc l'essentiel de leurs moyens de subsistance à la forêt, aux friches de toute nature, aux rivières et aux étangs : la chasse, l'élevage, la pêche et la cueillette l'emportaient, et de loin, sur l'agriculture.

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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyDim 21 Oct 2012 - 9:17





SUPER INTERESSANT





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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyDim 21 Oct 2012 - 9:22



A voir et ecouter,







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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyDim 21 Oct 2012 - 9:25





La bible de saint louis,





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samsara

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MessageSujet: LE MUSEE DU PARCHEMIN    L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyDim 21 Oct 2012 - 19:09

Le musée du parchemin et de l'enluminure

un reportable très intéressant ...

Je pense une visite incontournable !



Samsara
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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyVen 2 Nov 2012 - 10:21




Grand spectacle




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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyVen 2 Nov 2012 - 10:23










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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyVen 2 Nov 2012 - 10:26


Les Tournois


I.Les origines
II.Le déroulement
III.Les intérêts des tournois
IV.L'évolution des tournois

Les origines

L'origine des tournois est difficile à déterminer. Pour dire vrai, on n'en connaît pas exactement la date d'apparition. Disons pour simplifier qu'on penche pour le milieu du XIème siècle et que les premiers documents qui en font référence datent du début du XIIème siècle. Les tournois sont donc en gros apparus entre 1050 et 1100, et ceci dans le royaume de France (les textes parlent du " Conflictus Gallicus " ).

D'un point de vue étymologique, le mot " tournois " vient du latin " Torneamentum " qui a des parentés évidentes avec les mots " tourner " ou " tournoyer ". Ce terme doit faire référence au mouvement effectué par les combattants après leur charge pour en préparer une autre. Une deuxième explication souligne l'errance des chevaliers qui " tournent " de lieux en lieux pour participer aux différents tournois.

II > Le déroulement (XI-XIIIème siècles ):

- Où ?

Les tournois ne sont pas pratiqués partout, loin de là. Ils sont par exemple très longtemps interdits en Angleterre, de fait, tel chevalier " angle " qui veut s'y adonner est obligé de traverser la Manche. Le terre de prédilection pour les tournois est résolument le royaume de France.

Mais à l'intérieur de ce dernier, on est frappé aussi par le fait que les tournois ne se déroulent pas n'importe où. Ils se situent dans la très grande majorité des cas dans les " Marches ", entendez, aux périphéries des grandes principautés. Hormis quelques exceptions, tous les tournois se déroulent dans les " confins ", sur les lisières, aux limites des grands domaines.

On tournoie plus souvent qu'on ne le pense. Pour certaines sources, on tournoie " presque chaque semaine ". Il n'est pas improbable qu'en temps de paix, des tournois se tiennent tous les 15 jours. On évite cependant l'hiver, et évidemment, les tournois n'ont pas lieu pendant les périodes de " vacances " (au sens propre, pâques, Toussaint, Avent etc...). Bien sûr, tout le monde ne participait pas à chaque rencontre mais certains tournois ont acquis une vraie notoriété et ils attiraient la foule ( à Lagny, en Champagne, jusqu'à 3000 chevaliers ! ! Sans compter les " vils ", c'est-à-dire, les piétons et mercenaires qui devaient être autant ! Sans compter non plus les filles de joie, les marchands, les badauds etc....disons 7 à 8000 individus en tout...un beau désordre !).

- Qui ?

Ceux qui tournoient appartiennent évidemment à la société " aristocratique " qui guerroie. Cependant, il faut préciser que dans les tournois, simulacre de bataille, on trouve des piétons qui appartiennent aux classes " de basses naissances ", autrement dit, il n'y a pas que des nobles dans les tournois. Si on y voit de grands seigneurs ou hauts barons (Comte de Boulogne, duc de Bourgogne...), les rois n'y participent jamais. On y voit beaucoup de " bacheliers " (des jeunes chevaliers, encore errants ).

Les participants viennent de tous les horizons du royaume de France. Certes, on trouve bien des anglais, mais un chevalier écossais par exemple passe pour exotique.

- Déroulement :

Chaque tournois est en général annoncé 15 jours avant. Il se déroule normalement sur trois jours.

- Le 1er jour sont les préparatifs, les arrivés et la formation des groupes.

Arrivent les participants, jeunes chevaliers errants ou bacheliers, cadets, grands seigneurs accompagnés de leur " maison ", entendez, de leurs vassaux. On vient isolé (pour les jeunes ) ou " bannerets " (un chevalier qui porte " bannière ", qui vient avec un groupe d'autres chevaliers qui se rangent sous son enseigne, les grands " barons " en général ).

J'en profite pour clarifier une chose importante : Le tournois est une véritable bataille simulée. Or, comme dans toutes les batailles, le tournois oppose deux camps, deux armées, formées non seulement de chevaliers ou d'écuyers, mais aussi de piétons, de piquiers voire même d'archers. On a trop souvent tendance à croire que le tournois ne réunit que des chevaliers armurés jusqu'aux dents. C'est faux, la piétaille est aussi de la partie et son rôle ne saurait être ignoré (quoique j'aie mal à saisir le rôle des archers ).

Quoiqu'il en soit, le tournois disais-je oppose deux camps composés de plusieurs groupes. Les participants sont libres de rallier le groupe qu'ils veulent. Les groupes se créent selon diverses affinités, l'une d'entre elle est le regroupement par " nation ", on se regroupe entre " normands ", " angevins ", " anglais ", " bretons " etc...tout en précisant que, comme le foot actuellement, ces équipes n'ont rien de nationale puisque chez les " anglais ", on trouve aussi bien des " français ", que des " flamands " etc...

Notons aussi qu'une véritable compétition pouvait opposer dès le départ les groupes pour acquérir quelques personnalités intéressantes. En effet, on s'arrachait les chevaliers qui passent pour des vedettes des tournois, de vrais champions en somme, un peu à l'instar des stars du foot. Il est coutume qu'un groupe réussisse à intégrer dans ses rangs un champion au prix de lourdes sommes (pensions ).

Une fois les groupes formés, on les rassemble en deux camps. On désigne parmi les grands seigneurs un chef par camp.

On prépare le matériel, on fait briller les heaumes, on astique les hauberts, on visite l'aire de jeu pour en prendre connaissance. Les tournois se déroulent dans une espace qu'on appelle " champs ", c'est une vaste étendue de campagne, avec des limites floues, mais qu'on ne s'y trompe pas, c'est un terrain accidenté, qui englobe champs, bois, bosquets, collines, parfois même bourgades. Le terrain est divisé en deux parties, un par camp. Chaque camp dispose d'une zone de repli qu'on appelle les " recets ". Délimitée par des lices ou barrières, c'est une zone intouchable et neutre, où les combattants viennent se reposer, soigner leurs blessures, reprendre des forces, picoler une bonne mousse ( une du nord évidemment hein ), ou mettre leur butin à l'abri.

- Le deuxième jour commence par les " commençailles ", c'est-à-dire, des escarmouches et des défis entre jeunes " bacheliers ", le but étant de se faire remarquer. On assistait donc à quelques combats singuliers ( jamais mortels ) entre des jeunes chevaliers.

Vient ensuite le vrai tournois, la " mêlée ". Pas de coup de sifflet ou de trompette, simplement, quand les combattants d'un des camps sont prêts, ils se rassemblent sur l'aire de jeu pour signaler leur volonté de commencer.

Quelques minutes plus tard, les deux camps se font face, l'excitation commence à poindre, l'atmosphère s'alourdit, il fait chaud sous les hauberts, les chevaux se cabrent.

Les chefs de chaque camp alignent leurs combattants en " conroi ", c'est-à-dire, en formation serrée.

Car la mêlée se divise en général en deux temps : En premier lieu, on aligne les combattants en rangs serrés, puis chaque camp se charge mutuellement, puis on fait demi-tour, et on recommence, l'objectif est de désorganiser les rangs de l'adversaire, de culbuter le maximum de monde, de semer le désordre dans le conroi adversaire. Une fois que l'autre camp est désorganisé, que ses combattants sont isolés, le deuxième temps commence. Là, c'est la curée, les rangs se désintègrent et chacun part culbuter celui qui l'a choisi. Le premier temps est essentiel car c'est le camp qui a su rester le plus cohérent qui a le plus de chance de l'emporter. Mais c'est un moment franchement délicat, qui suppose de la part des combattants une certaine discipline, car on n'est jamais à l'abri d'un plus excité que les autres qui, impatient d'en découdre, sort subitement des rangs pour aller culbuter un adversaire, ce qui donnerait le signal aux autres qui s'empresseraient de suivre, les rangs se disloquent et le conroi fait place à l'anarchie.

Les lignes adverses commencent à onduler , un vent de panique se dessine, certaines chevaliers commencent à s'isoler, ils constituent de ce fait une prise facile à saisir. C'est le moment tant attendu par les chevaliers. Chacun a préalablement choisi sa cible dans l'autre camp. Sus aux belles prises ! ! Ayez, ça part de tous les côtés, seul ou en petit groupe, on fonce sur sa cible. C'est un grand seigneur, connu en plus, son destrier est superbe, son armure rutilante, il pèse son pesant d'or car une fois prisonnier, il faudra qu'il rachète sa libération. Au tournoi, on ne se bat pas pour l'honneur ! On est là, comme à la guerre, pour ravir des armes, des destriers, des hommes, bref, de se faire un joli butin. Le but n'est pas de tuer, mais de capturer et d'arrondir ses fins de mois.

La cible est proche...il faut l'isoler à tout prix, ce n'est pas une mince affaire, car il est protégé le bougre, 4 chevaliers font un rempart de leur écu. Que cela ne tienne, on fonce en serrant sa masse d'arme, on fauche à droite, et PAN, un de moins, on fauche à gauche, et deux, on se fraie un passage vers l'adversaire ciblé. Pour le faire prisonnier, pas compliqué, il faut concentrer les coups sur le casque pour le malmener et l'assourdir, et PAF, PING, POUF, trois coups de masse d'arme bien ajustés sur le heaume pour étourdir mon adversaire, ça ne suffit pas, pas de problème, et PAN, un grand coup de toutes ses forces, et le heaume de mon adversaire s'en retourne carrément devant derrière. Il ne sait plus où il en est, il ne voit plus goutte, mais il s'agite encore, Argh, il est tenace le vilain, pas grave, soyons généreux, et PAN, un ultime grand coup pour carrément l'assommer. Une fois fait, il n'y a plus qu'à prendre les rênes de son destrier et emmener ma cible vers ma zone de repli. Pas une mince affaire ! On essaie de me le reprendre, on veut me le faucher ! Il ne faut surtout pas le lâcher car il vaut son or !. Si on arrive à amener son prisonnier dans sa zone de repli, c'est le banco ! Le prisonnier doit racheter sa libération et son matériel (armes, destrier etc...), pas mal de piécettes en perspective.

Quand l'un des camps est franchement malmené, ou quand la nuit approche, on décide d'arrêter la mêlée. On statue et on discute alors pour savoir quel est le camp vainqueur. On panse ses blessures, on s'inquiète de la santé de ses amis, on commente les combats autour d'un feu, on cherche à connaître la vedette du jour, et surtout on débat sur le butin. On s'acquitte de sa dette, on fait affaire, on troque, on marchande. Puis on fait fête, on ripaille, on boit, on chante, puis on s'endort exténué.

III > Les intérêts des tournois :

- L'intérêt premier des tournois est militaire. Les méthodes de combat ( cf article de Matthieu ) de la chevalerie nécessitent énormément d'entraînement. L'équitation, le maniement de la lance, l'escrime exigent de l'apprentissage. Il existe évidemment des " jeux " guerriers pour s'entraîner ( la quintaine par exemple qui consiste à frapper un mannequin avec sa lance lancé au galop etc...). L'énorme avantage des tournois est de mettre le combattant en situation réelle de combat, une vraie simulation en somme. Car les tournois en leur début ne diffèrent absolument pas de la guerre. J'insiste sur cette idée, les tournois ne sont pas un jeu, c'est un vrai combat, une vraie bataille, à la seule différence qu'il y a des règles assez strictes. Mais les tournois ne sont pas sans risques, loin de là, on note de nombreux cas de chevaliers tués dans les mêlées. Certes, ces accidents sont toujours très déplorés, et il est attesté que dans les tournois, on " retient " quelque peu ces coups (il est avéré que les combattants dans les mêlées montrent de la retenue dans leur façon de frapper. De même, l'usage de lance " à plaisance " est attesté, c'est-à-dire, de lance à la pointe " émoussée ". On notera aussi le fait qu'on utilise l'armement défensif le plus lourd possible, on n'hésite pas à se " blinder " de pièces d'armures.).

- Un intérêt social évident. Les tournois permettent aux chevaliers de se retrouver entre eux, d'affirmer leurs valeurs, leurs rites, on parle le même langage, on fait le même " sport ", on a les mêmes gestes, bref, ça rapproche, ça affermit les liens, ça raffermit l'impression de faire partie de la même " bande ". La solidarité chevaleresque s'épanouit.

Les tournois permettent aussi l'ascension social notamment pour les jeunes chevaliers qui doivent faire leurs preuves. C'est l'occasion de se faire un nom si on a la chance d'avoir fait un bon tournois ( ce n'est guère différent à Mélulice, certains s'aperçoivent qu'il existe un nouveau joueur que quand ce dernier arrive bien placé dans les joutes ....). Une fois repéré, on est invité par un grand à entrer dans son équipe, ce qui constitue toujours une promotion sociale (bah, à Mélu, quand on gagne les joutes pour la première fois, on est invité à entrer dans une mesnie...le principe est donc le même ).

- Les tournois permettent de gagner sa vie ! C'est un aspect inconnu mais les tournois ont un intérêt économique primordiale. En temps de paix, ils permettent aux chevaliers d'amasser quelques piécettes, d'arrondir leurs fins de mois, voire de faire " un bon coup " et de gagner pas mal d'argent. Car l'une des grandes finalités d'un tournois, notamment pour les jeunes participants, est de faire des prisonniers qui doivent ensuite racheter leur liberté. Là est l'intérêt qu'il y a de se ruer sur un chevalier puissant ( et donc nanti ) lors de la mêlée, c'est l'assurance de gagner en retour une belle escarcelle de piécettes sonnantes et trébuchantes. Cette motivation " vénale ", qui contrarie un peu la sainte image de la chevalerie, est à double tranchant. Car si vous êtes un chevalier modeste, qui espère faire une bonne prise, mais qui manque de bol se fait attraper, incapable de racheter sa panoplie, il se voit priver de ses outils de travail et donc risque d'en perdre son statut. Participer aux tournois est dans ce cas un vrai risque. C'est une vraie loterie, on peut gagner beaucoup, ou peu, mais on peut aussi perdre grandement.

- Enfin, les tournois sont aussi un défoulement collectif, un sport...on tape, on se fait taper dessus, bonne esprit quoi.

IV > L'évolution des tournois :

Quand on imagine les tournois, on les présente bien souvent comme une fête mondaine, où les champions de la lance se joutaient devant un parterre de seigneurs et surtout de femmes dont l'imagerie d'épinal veut qu'elles prennent l'habitude d'offrir leurs couleurs aux chevaliers. Cette image n'est pas fausse mais elle ne s'applique absolument pas aux tournois des XIème-XIIème siècles. Pendant cette période, il n'y a guère de public dans les tournois, pas de tribune, pas de femmes (ou rarement ). Quant aux quelques badauds, ils ne peuvent de toutes manières qu'observer le tournois de loin ( trop dangereux ) et si possible en haut d'une tour.

Cependant, les tournois évoluent assez rapidement à partir du XIIIème, et surtout au XIVème siècle, vers une manifestation de plus en plus mondaine et festive. On prend l'habitude de convier un public huppé perché dans une tribune qui regarde les combats. Troubadours, ménestrels, jongleurs, flâneurs de tous poils s'agglutinent et accroissent le côté divertissement des mêlées.

Un nouveau personnage apparaît aussi au XIII-XIVème siècles, les héraults. Ces derniers acquièrent un rôle essentiel car ils deviennent de vrais spécialistes des tournois. A la fois professionnels de l'héraldique, véritable commentateurs des combats, arbitres impartiales, poètes, ménestrels et orateurs, ils font frémir la foule de leurs commentaires, ils connaissent les participants par leurs armoiries, ils les annoncent, commentent en expert les combats, font la moue ou décernent de vraies dithyrambes, arbitres, ils tranchent les différents, édictent les règles des tournois, et surtout on fait appel à eux pour désigner les vainqueurs. Leur rôle est fondamental et ils deviennent rapidement des personnages emblématiques des tournois.

Enfin, d'un point de vue " guerrier ", les tournois évoluent. De moins en moins professionnelles et collectives, les mêlées s'effacent pour laisser la place peu à peu aux défis individuels et codés, c'est-à-savoir, aux joutes et aux pas d'armes. De fait, aux XIV-XVème siècles, finies les mêlées inextricables de chevaliers se martelant à coup d'épée ou de masse d'arme, les combats désormais réunissent deux chevaliers. On ne combat plus qu'à la lance. Les tournois perdent peu à peu leur intérêt d'entraînement militaire.


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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMar 6 Nov 2012 - 9:35






L'esprit n'est plus le même Laughing




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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMar 6 Nov 2012 - 9:38










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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMer 7 Nov 2012 - 9:38












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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMer 7 Nov 2012 - 9:40







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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyMer 7 Nov 2012 - 9:43








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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyVen 23 Nov 2012 - 9:57









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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyVen 23 Nov 2012 - 10:00






Jamais vu un soutien gorge datant de 600 ans la dame est trés agée Shocked




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MessageSujet: LA CHEVALERIE VERSION DIDIER BENUREAU    L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptySam 24 Nov 2012 - 21:52

La chevalerie mais version Didier Bénureau !

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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyLun 26 Nov 2012 - 9:29




Bonjour samsara,


rire j'ai bien rigolé en regardant cette petite vidéo...

Heureusement que nos comiques sont la pour nous faire évader un peu. Laughing


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MessageSujet: Re: L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE...   L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 EmptyLun 26 Nov 2012 - 22:43

oui Monsieur Didier Bénureau est génial ! je trouve un des meilleurs chevaliers du rire dans son genre ...

Dans ce schetch par exemple, même si on ne comprend pas un traitre mot d'anglais on comprend tout ou presque...

ce type est un pur génie !

Il passe du 28 novembre au 1 décembre à Paris à la Cigale et savez vous ?

Je vais le voir samedi.....L' HISTOIRE D' UN CHEVALIER AU MOYEN AGE... - Page 27 680660

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